HELTERSKELTER c'est un univers cartoon où s'accouplent Tim Burton, Quentin Tarantino, Timur Bekmambetov et tous les visionnaires de ce siècle. HELTERSKELTER, c'est un monde éclaté où tout est permis, où les personnages décalés et mal-aimés trouvent leur salut. HELTERSKELTER c'est une révolution en manque de révolutionnaires comme vous...Faites de ce monde le vôtre et rejoignez-nous.
Synopsis
La City. Mégalopole dont les néons masquent mal la noirceur. Labyrinthe bitumineux où les pions grouillent comme des cafards. Échiquier où se livrent batailles de shotguns comme génocides à coup de silencieux. La City. Terrain de jeu de Queen Black et de King White. Berceau du lucratif commerce des diamants. Mère des aristocrates nouveau genre. Paradis des actionnaires féroces qui se dévorent comme lions en cage. Siège d'un remake de la Cour des miracles, matrice de super-héroïnes improvisées et d'arnaqueurs de haute voltige. La City. Ville pourrissante, sanglante et violente, où la chair se mêle au métal, où la dentelle côtoie la sueur et où la rouille a vicié les cœurs comme les gratte-ciels. PLUS ?
Blues Diamonds
— La City, une ville qui bouffe des diamants, bois du sang et chie des balles de calibre 12. A l’ombre des tours de verre et d’acier, c’est l’enfer. Une jungle de béton où il ne fait pas bon trainer sa carcasse.
— Il se raconte dans les bars, que Dieu a voulu broyer la City et renvoyer à la poussière cette Sodome des temps modernes. Mais lorsqu’il s’est ramené dans les rues avec son gros poing justicier, White King et Black Queen trop occupés à se taper dessus, lui ont tout simplement dit d’aller se faire foutre.
— Ces places à l’ombre ? Des cases noires. Ces parcs brûlés par le soleil ? Des cases blanches. Ces avenues qui se coupent en angle droit ? Des diagonales de jeu. Toutes ces lois qui prennent la poussière ? Juste une règle d’échec. Et toi connard ? T’es comme moi, comme nous, comme tout le monde. Rien qu’un pion.