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Sujet: → Code de lois. 01.03.13 22:51 | |
| Helter Skelter Die Kaiserin
→ MESSAGES : 101 → CITOYENNETÉ DEPUIS : 01/03/2013
Code de loi Tenez-vous le pour dit !
Dans la préface, on vous averti d'emblée qu'on sera autocratiques, totalitaires et despotes. Mais pas arbitraires. Ces règles sont votre habeas corpus. Elles vous permettent non seulement d'être des membres modèles que nous chouchouterons avec excès, mais constituent également votre Bible qui vous permettra de vous prémunir contre toute décision jugée arbitraire de la part de l'équipe administrative. Ici, pas de chichi, on va droit au but et on ne vous saoulera pas avec un règlement long et ennuyant. Sachez tout de même qu'il faut pas nous embêter et jouer à l'arrogant, sinon on vous envoie aux fers.
Alors voilà. La première règle est la suivante et, sans conteste, la plus importante. Le forum est réservé aux gens âgés de 18 ans et plus. Pourquoi ? Parce qu'on va être violents, sadiques, crades, glauques, gore, libidineux, débauchés, alcooliques, drogués, suicidaires, masochistes et j'en passe. En fait, HELTERSKELTER est un forum dont le but simple et précis est de s'amuser. Sans aucune limite. J'ai pas envie de jouer la babysitter et d'arbitrer des conflits entre les membres frigides et les membres nymphomanes ou encore de m'immiscer entre les membres pacifistes et les tueurs en série. Alors on fait simple : bas les pattes, les adolescents ! Ici, on accepte que les gens majeurs. Compris ?
Bien évidemment, quand je dis qu'on accepte tous les trucs cités plus-haut, ça doit rester dans l'univers du Roleplay. J'ai pas non plus envie d'arbitrer des conflits personnels entre membres qui se balancent des insultes à tout va et qui se réfèrent au code de vie pour défendre leur charmant et pitoyable plaidoyer. La drogue, l'alcool, le sang et le sexe, ça reste dans le Rp. Pour les sections Hors-Rp, je veux que tout le monde s'aime et chante la Mélodie du bonheur. J'y tiens mordicus.
De façon plus protocolaire, veuillez, je vous prie, consulter le règlement en vigueur sur tout le réseau Forumactif si cela n'est pas déjà fait :
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Dernière édition par Helter Skelter le 31.05.13 0:04, édité 9 fois |
| | | Sujet: Re: → Code de lois. 02.03.13 21:45 | |
| Helter Skelter Die Kaiserin
→ MESSAGES : 101 → CITOYENNETÉ DEPUIS : 01/03/2013
Code de loi L'abécédaire du membre parfait.
1) Civilisation des barbares. Faute d'être des barbares sans cervelle, on se doit de rester civilisés. C'est pas compliqué, non ? Bien entendu, cette règle s'applique au fabuleux monde du hors-RP. Pas d'insultes, de conflits, de querelles, de stupidités et d'obscénités. Sinon, on risque de se fâcher et de vous dégommer l'estomac avec un shotgun (c'est-à-dire vous bannir sans moindre forme de procès). Le racisme, sexisme et diffamation doivent rester au placard au même titre que votre fallacieuse tendance à inciter les gens à consommer drogues, alcool et pornographie à deux sous. Si la loi du capitalisme prône à La City, elle n'est pas de mise ici, pas la peine de tenter de nous vendre vos produits, vos forums RP ou vos grand-mères, on n'en veut pas ! À l'abattoir les colporteurs !
2) Chirurgies plastiques et falsification d'identité. Votre tronche doit faire 200 pixels x 320 pixels, ni plus ni moins. Nous n'accepterons que les photographies de célébrités ou de mannequins en chair et en os (bon, plus en os qu'en chair habituellement, mais tout de même !). Comme l'atmosphère d'HELTERSKELTER est plutôt de type « pin up », il est possible d'emprunter les traits d'une pin up amateure qui se serait prise en photo. Mais pas de dessins ou de mangas ou de trucs qui me rappellent trop mon manque de talent flagrant en arts plastiques.
En ce qui concerne le pseudonyme, dois-je vraiment vous faire un dessin ? Tant que sur votre carte grise figure un prénom et un nom de famille, je me fiche éperdument du nom que vous donnerez à votre personnage. Que votre nana se nomme Cherry Shore ou que votre playboy se fasse reconnaître par un prénom douteux du genre Cash Evergreen nous importe peu. Mais évitez les Harry Potter, les Katniss je-ne-sais-plus-quoi et j'en passe. Soyez originaux, le reste, on s'en balance ! Ah et surtout, mon aversion pour les maths dépassant l'entendement humain, évitez de mettre des chiffres dans votre pseudo, ça craint franchement !
3) La loi du moindre effort. Vais-je vous fustiger si vous écrivez deux lignes ? Oui. Sans hésitation. Vais-je vous taper sur les doigts si vous faites 19 lignes au lieu de 20 ? Non. Étant donné tout le boulot que je me suis tapé, j'ai décidé d'instaurer un minimum de 15 lignes pour les messages dans la partie « playground ». Ce n'est pas pour être chiante (Dieu sait que je peux l'être), mais uniquement pour éviter d'attirer des flemmards incapables de pondre plus de cinq phrases cohérentes. Si votre compagnon de roleplay vous fait une fleur en vous composant un joli pavé de quarante lignes, il faut lui donner un léger retour sur investissement. Il s'agit de logique élémentaire et de politesse. Je ne vais pas vous policer à travers le télécran, mais soyez vigilants. Même chose pour les fautes d'orthographe et de syntaxe. On est à l'ère de l'informatique où les sites de correction de textes abondent comme mouches autour d'un clodo', faites un effort.
4) Paradoxes temporels. Dans ma grande clémence, j'ai décidé de vous laisser tranquille. Vous n'avez pas de limite de temps pour compléter votre fiche de présentation ou répondre à vos RPs, pas plus que vous êtes obligés de passer tous les jours afin que je vous donne une friandise. C'est un jeu. Rien ne sert donc de vous embêter pour un rien. Néanmoins, ayez le civisme d'aviser vos partenaires de jeu avant de quitter pour une longue période (ils pourront ainsi se donner à d'autres). Pas la peine de vous mentionner que dans le cas des personnages prédéfinis, une fiche de personnage incomplète vous fera peut-être perdre votre primauté. Comme on le dit si bien : « Premier arrivé, premier servi. ».
Le plagiat et la copie complète ou partielle d'une oeuvre ou d'une idée sans le consentement de l'auteur sont interdits et fortement découragés. Une mention de remerciement à l'auteur de l'image ou du texte empruntés est donc de rigueur.
Dernière édition par Helter Skelter le 27.06.13 15:04, édité 3 fois |
| | | Sujet: Re: → Code de lois. 22.05.13 2:21 | |
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→ MESSAGES : 101 → CITOYENNETÉ DEPUIS : 01/03/2013
Public cible Testez votre tolérance.
Sur HELTERSKELTER, on ne rigole pas avec le public cible. C'est probablement la seule chose qui soit véritablement sérieuse et on a beau vous donner toute la latitude et la liberté du monde, reste que l'appellation 18 ans et + c'est pas que pour faire joli ou pour se la jouer big shot.
Certains joueurs croient qu'en ayant passé la majorité et en ayant accepté à la va vite les règles du forum, qu'ils peuvent se permettent ensuite de critiquer le jeu des autres joueurs, de se révolter à cause d'un RP trop vulgaire, de critiquer de façon dédaigneuse et en public les joueurs qui aiment faire des sujets chauds, mais ici, ces conneries sont interdites. SI VOUS VOUS INSCRIVEZ SUR HELTERSKELTER, VOUS ASSUMEZ.
Si vous savez que vous avez du mal à supporter :
— La description lyrique de violence psychologique, physique ou sexuelle ; — La description lyrique de scènes érotiques ou pornographiques ; — Les propos vulgaires, crus ou scandaleux.
PASSEZ VOTRE CHEMIN.
L'équipe administrative n'acceptera sous aucun prétexte l'incitation à faire de telles choses dans la vie réelle, mais dans le monde numérique et littéraire, nous acceptons tout. HELTERSKELTER a spécifiquement été créé pour que tous laissent libre cours à leur imagination, qu'elle soit lumineuse ou sombre. Nous ne tolérerons donc aucune critique à l'égard des joueurs qui souhaitent se lancer à fond dans le processus.
Afin de tester votre seuil de tolérance, nous vous avons rédigé un RP qui contient des scènes choquantes et très explicites. Si vous n'êtes déjà pas capables de tolérer ce RP, vous serez fixés.
- Spoiler:
À la lune, les loups hurlent leur rage. Mais à la face de quel astre glapit le dingo ? Le brûlant soleil austral, le volcanique et magmatique diamant. King lui a donné l'ordre de s'accoupler avec cette petite chienne. Le dingo est en rut et ne se retient plus d'exploser la tronche à tous ceux qu'il croise. King ne veut plus de débordements. L'homme dans la tour d'ivoire contrôle tout. Il a donc donné carte blanche à son molosse qui arpente désormais les rues de la haute ville pour trouver sa proie. Les entrailles goudronneuses s'agitent à la nuit tombée. Criblée de néons, l'obscurité n'en est que plus envahissante et le chien baveux se trémousse sur les trottoirs, sautant de pan d'ombre en pan d'ombre d'un pas leste, mais carnassier. Kitty ne le quitte pas. Elle est toujours fichée dans sa poche et attend sa sortie du soir, elle aussi. Le caillou brillant déforme son pantalon et sa braguette n'est pas en reste. L'anticipation travaille ses abdominaux qui se contractent. Sous la surface bouillonne l'envie irrépressible de mordre la chair, de la déchirer d'un coup de dents. Sous ses cheveux filasses, l'inaliénable pulsion dévorante d'un hurlement féminin, arraché au creux d'un ventre distordu. Hummm...Il hume la tiède odeur d'une peau parfumée par l'alcool et celle, plus salée encore, d'une culotte trempée. Le boulevard est jonché de corps vides, d'enveloppes chaudes et humides qui n'attendent que d'être remplies par le facteur. Ce soir, il est le facteur tout désigné par King pour porter un message. Un long et pénible message.
Il tourne l'angle de la rue, aperçoit sa destination. L'enseigne de néon grésille : Spider Web Tattoo. Il se pourlèche les babines et sautille en se mordant les lèvres. Le chienchien ne peut réprimer cette euphorie, celle qui précède l'accouplement, celle qui précède le pouvoir et la domination. Il plonge la main dans sa poche, ses doigts s'attardent une seconde sur la surface glaciale et effilée de Kitty. Il en ressort une fiole cristalline et avale d'un trait le liquide laiteux qu'elle contient. Aaaahhh...Il ouvre la porte, s'avance jusqu'au comptoir où un quidam tatoué l'accueille. L'homme lui fait signe de la tête, Dingo jubile. Il n'a qu'à pousser la petite porte carmin qui le sépare de cet os à ronger et à le prendre, à le prendre et à le croquer. Ce qu'il adore, c'est l'excitation de passer un doigt sur la poignée. Le métal froid déclenche une secousse dans tout son être, le sang pulse à ses tempes, lui pique les lèvres. Le Spider Silk lui électrifie les nerfs et il bande juste à imaginer la suite. Le coyote pose son front sur la porte de bois peint, un sourire accroché aux lèvres. Sa langue s'érige entre ses dents et claque. Avec une délicatesse qu'il ne se connaît pas, il tourne le bouton de métal et pénètre dans la pièce. Il a déjà son arme au poing. Un 9 millimètres fiché d'un silencieux. La première balle qu'il tire déchire la nuque du tatoueur qui s’effondre dans un ploc ! fulgurant. Un meurtre qu'il aurait dû éviter, mais King lui pardonnera bien. La pauvre biche pousse un cri strident, son dos est souillé de sang. Mais en deux temps trois mouvements il est derrière elle et la plaque sur la table d'une main pendant que son arme mord brutalement la cambrure de son dos.
Elle sanglote. Il s'excite et s'ébroue. Le canon de l'arme est toujours rivé à sa colonne vertébrale, glacial, tranchant. Mais il ne fait que commencer. Carte-blanche que King a dit. Mumuse, bonbons et tout le tralala. Et puis, la boutique est fermée, il peut prendre son temps. Il glapit de plus belle en l'attachant. Ainsi couchée sur le ventre, elle lui donne des idées lubriques. Ses poignets sont fermement liés à la table, ses chevilles étirées par des chaînes, ses jambes écartées et immobilisées. Dans cette position, elle est délicieusement obscène. Elle tremble, mais elle mouille quand même. Il glisse son pistolet le long de ses hanches, puis le long de ses cuisses nues. Quand il atteint le genou il remonte, doucement. Mais ce petit manège a assez duré. Dingo n'est pas le genre à prendre son temps. Il s'emballe encore, trépigne et remonte la jupe scandaleuse avec son arme et vient ficher son canon entre les jambes de sa proie qui pousse un cri...Il la fait taire d'un chutttttt ! qui en dit long sur ses intentions de détraqué. Les larmes coulent sur sa joue alors qu'il fait glisser en elle le canon glacé de son 9 millimètres. Les chairs se distendent progressivement et il sent la résistance diminuer. Douce effluve alors qu'il retire son arme du sanctuaire humide et en hume le métal. Hummm...le sang, la cyprine et le sel érodent l'acier de son pistolet, il se délecte d'une telle réaction chimique. Métal et chair s'allient si bien ensemble. Oh ! Il allait oublier ! Elle a le droit de s'amuser elle aussi. Le moment est venu de permettre à Kitty sa balade nocturne. Il la sort délicatement de sa poche et la pose près du visage de la petite poupée qui gigote sur la table. L'éclat diamantin de Kitty fait fuser une lumières crue sur son visage. Les projecteurs sont allumés. Le spectacle peut commencer...Il s’accroupit devant son visage et approche le sien à quelques centimètres.
— Toutes les petites chiennes dans ton genre bavent de l'entre-cuisse juste à l'idée de toucher un diamant. Et ce soir, ma jolie, tu auras la chance d'être présentée à Kitty. Comme je la connais, elle voudra te connaître plus en profondeur.
Sourire aux dents tranchantes. Il peut faire mumuse. Il contourne la table où sa proie est fixée, la toise comme un vautour prêt à fondre sur une charogne putride. La petite pièce embaume la peur. La chatte et la peur. Il s'enivre un instant aux exhalaisons musquées, recueille du bout de son index une goutte de honte et la porte à ses lèvres. La jeune fille est goûteuse, elle pue la pute. Il la sait volage, il sait qu'elle aime se faire tringler dans tous les sens par les mecs du bureau, ça se sent, ça se goûte. Si elle a une telle admiration pour les bites, elle sera bien servie. Sa braguette craque sous la tension, dans le silence angoissant qui règne dans la pièce, on entendrait presque le sang affluer vers son membre turgescent. La donzelle retient sa respiration, espère qu'il l’oubliera si elle se fait silencieuse, mais comment le pourrait-il alors qu'elle est le seul morceau de viande que le dingo a à se mettre sous la dent ? Nouveau glapissement et sa main claque une fesse dévoilée. Fort, trop fort. La petite chienne hurle aussi à la lune. Il lève son bras bien haut, fredonne l'hymne national américain et la refrappe à nouveau. Les stries d'incarnat qui se forment sous sa peau blanche sont magnifiques : un canevas vierge qu'il s'empresse de colorer à nouveau. Les claques pleuvent sur son petit cul et elle pleure de plus belle, des sanglots saccadés se succédant à ses supplications pathétiques. Mais la proie n'a-t-elle pas encore compris que le coyote s'enivre de ces vaines supputations ? Et quand il se débarrasse de sa ceinture pour lui fouetter le dos, il abreuve sa folie à même ses hurlements. Acharné, il lui cingle les cuisses avec la boucle métallique. Des gouttelettes de sang viennent s'écraser sur sa braguette à demi-ouverte et il sent sa virilité palpiter dans son caleçon. Dieu qu'il veut la déchirer, la labourer et la distordre. Il veut fondre en elle et la remplir. Oh oui, il veut l'écarteler et la disloquer comme une poupée de chiffon.
Kitty n'est plus la seule à sortir de son pantalon pour profiter des joies nocturnes. Le colosse de chair est outrancieusement gonflé et Dingo s'amuse à le frôler sur sa cuisse avec une lenteur insupportable. Immobilisée, la pauvre jouvencelle est comme une brebis dans l'obscurité, sentant les crocs du loup frôler sa gorge. Mais Dingo n'est pas très patient. Il a assez fait durer le suspense. Il se hisse sur elle et glisse son membre entre les portes chaudes, jusqu'à la garde. Elle se tord de douleur et ses yeux se révulsent dans leurs orbites alors qu'il entame un effréné va et vient. Il grogne et s'agite, augmentant la cadence alors que le joli minois de sa pute est écorché par le métal glacial de la table de tatouage. Amusé, Dingo lui écrase la tête sur la surface dure et elle crie de plus belle. Le chien poursuit son agression et tire violemment sur un mamelon qui s'est échappé de son débardeur pour ensuite le tordre et y planter ses ongles. La chair est douce et chaude entre ses doigts, son membre est brûlant et destructeur entre ses jambes. Il empoigne ensuite de ses deux mains les hanches étroites et s'y accroche pour la baiser encore plus profondément, lui arrachant de nouvelles suppliques larmoyante. Il rive ses genoux aux siens pour la forcer à serrer les cuisses, l'obligeant à défier la douleur des chaînes qui disloquent inexorablement ses chevilles, mais il se fiche éperdument de ses vagissements tonitruants. Son canal soyeux est maintenant plus étroit et c'est jouissif à s'en éclater la cervelle. Et alors qu'il la baise sans ménagement, il sent les jambes de la pauvre poupée se relâcher alors qu'une plainte assourdissante fend l'air, lui indiquant que les si frêles os de ses chevilles ont craqué sous la pression. Plus grisé encore par le martyr et la douleur, il lui explose dans le ventre et se vide tout entier de sa substance.
Mais la partie n'est pas encore tout à fait terminée. Il s'extirpe de la gluante caverne, contourne la table et lui tire sur les cheveux pour la contraindre à voir la couleur de sa honte et de son indigence.
— Tu vois ça ? Tout ce sang, tout ce sperme et cette mouille poisseuse qui coulent sur ma verge ? Tu m'as souillée, petite traînée. Comme tu as souillé la réputation de King avec ta sale langue de vipère. Ce soir, salope, King te retourne la pareille.
D'un coup il lui enfonce son membre dans la bouche et en essuie les chairs sales sur sa langue. Et alors qu'elle s'étouffe, totalement impuissante, il empoigne Kitty et frappe sans arrêt, jusqu'à ce qui ne reste plus de cette journaliste trop sensationnaliste qu'un amas de chair inerte et labourée. Les gros titres seront particulièrement croustillants au petit matin : « Journaliste à potins retrouvée morte dans un salon de tatouage, son corps démembré et tatoué d'un grotesque '' Vive le roi, longue vie au roi ! '' ».
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